Ce lieu-là surpasse encore tous les autres en beauté : car les isles qui se rencontrent dans l’emboucheure de ces deux fleuves (le St-Laurent et la Rivière des Prairie), sont autant de grandes et de belles prairies, les unes en long, les autres en rond, ou autant de jardins faits à plaisir, tant pour les fruits qui s’y rencontrent, que pour la forme et l’artifice dont la nature les a préparées, avec tous les agremens que les Peintres peuvent representer dans leur païsage.” — Jérôme Lalement, Relations des Jésuites, 3, année 1663, p 28 cité dans Jean-Claude Marsan, Montréal en évolution, (Montréal : Éditions Fides, 1974), 31
…par conséquent ce fera un jour un pays tres-propre pour eitre la situation d’une grande et grosse ville. Jérôme Lalement, Relations des Jésuites, 3, année 1663, in The Jesuit relations and allied documents travels and explorations of the Jesuit missionaries in New France, 1610-1791 : the original French, Latin, and Italian texts, with English translations and notes, vol 48, p 168 (Early Canadiana Online)